Il semble que nos adeptes soient admirateurs de créatures surnaturelles et de choses étranges surgissant dans la nuit ! Pour célébrer la saison de l’épouvante, nous avons partagé des images sinistres et terrifiantes de spécimens étranges donnant froid dans le dos, prises avec un microscope Olympus. Un certain nombre d’entre elles se hissent au sommet du palmarès ce mois-ci !
Ces structures microscopiques ressemblant à des têtes de mort qui hantent vos cauchemars sont en fait inoffensives ! Il s’agit d’images de fluorescence induite par des UV d’une coupe de scirpe de 20 microns, une plante herbacée vivant dans les lieux marécageux, les étangs et les prairies humides.
Images reproduites avec l’aimable autorisation de Karl Gaff. Prise à l’aide d’un microscope Olympus BX51.
Notre prochaine image n’est peut-être pas effrayante, mais elle est certainement époustouflante ! Håkan Kvarnstrom a observé les cheveux de sa fille sous son microscope Olympus, et le résultat est magnifique ! Le petit nœud qu’il a réussi à isoler sur un seul cheveu capture parfaitement l’arc-en-ciel de couleurs de son image polarisée.
Images reproduites avec l’aimable autorisation de Håkan Kvarnström. Prise en lumière polarisée avec des objectifs 20X et 50X.
Les glaucophytes font partie d’un petit groupe d’algues unicellulaires d’eau douce qui se distinguent par leurs chloroplastes. Connus sous le nom de muroplastes, cyanoplastes ou cyanelles, leurs chloroplastes diffèrent des chloroplastes d’autres organismes par la présence d’une paroi de peptidoglycanes, que l’on pense être une relique de l’origine endosymbiotique de ces plastes par absorption de cyanobactéries.
Image reproduite avec l’aimable autorisation deGlenn McGregor.
Cette image rappelle la silhouette d’un extraterrestre, mais il s’agit en fait d’un poussin à sa neuvième journée embryonnaire. Qu’est-ce qui est venu en premier, la poule ou notre intérêt pour la collecte de ses œufs ?
Les écrits sur le développement embryonnaire remontent à l’époque du philosophe grec Aristote qui notait les changements survenant dans l’embryon lorsqu’il ouvrait les œufs à différents stades de l’incubation. Au neuvième jour embryonnaire, le poussin n’a pas encore de plumes, mais ses griffes commencent à poindre.
Image soumise dans la cadre du concours IOTY 2019 et reproduite avec l’aimable autorisation d’Eva PetrovovaPrise à l’aide d’un microscope SZ61 d’Olympus.
Les inscriptions à notre concours « Global Image of the Year » 2021 sont maintenant en cours! Pour en savoir plus, consultez le site Web https://www.olympus-lifescience.com/ioty
Dans une image moins fantomatique, mais tout aussi jolie, Karl Gaff parvient à nouveau à capturer la beauté microscopique de la vie végétale. Cette image montre une coupe transversale non colorée d’une tige d’hippuride vulgaire, une plante aquatique mieux connue sous le nom de « queue-de-cheval ».
Image reproduite avec l’aimable autorisation de Karl Gaff. Prise à l’aide d’un microscope BX51 d’Olympus avec un objectif X Line 10X.
Nous aimons tous les tardigrades, mais leur apparence adorable n’est peut-être qu’une façade. Ces adorables petites bêtes sont de véritables vampires microscopiques ! Le stylet en forme d’aiguille situé dans leur bouche leur permet d’aspirer les nutriments du corps de leurs amis et de leurs ennemis.
Vidéo reproduite avec l’aimable autorisation de Hunter Hines. Prise à l’aide d’un microscope BX53 d’Olympus.
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